Assistant
director - Mitch Hooper (with Benedicte Charpentier)
Set designer - Eileen Diss
Lighting designer - Jean-Luc Chanonat
Costume designer - Claudine Lachaud
Sound designer - Tom Lishman
Rebecca - Christine Boisson
Devlin - Lambert Wilson
" - Pourquoi mettez-vous en scene Ashes to
Ashes en France? [...] - J'etais tres interesse par la confrontation
avec le français. C'est une experience passionante."
Harold Pinter to Marion Thebaud, Le Figaro
Litteraire, 19 March 1998.
"Il nous donne des cles, bien sur. Il est
avant tout le metteur en scene le plus concret" que je connaise.
On repete en costume dans les decors et on resoud quotidiennement
des problemes de voix, de diction, de rythme. Pour Pinter, le
theatre se resume a un plateau et non a des theories sur le theatre.
Avec lui, on fait, on agit, on ne perd pas de temps a se poser
de fausses questions."
Lambert Wilson to Marion Thebaud, publication
unknown.
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Harold Pinter,
Christine Boisson and Lambert Wilson |
"Il cherche sans cesse, il fouille, et propose
chaque jour des choses differente de la veille. Il apporte avant
tout un eclairage specifique et changeant. Rien n'est fige. Nous
repétons quatres heures et demie par après midi: ce sont des heures
intenses qui se deroule pourtant dans une atmosphere extremement
decontractee."
Christine Boisson to Pierre Notte, La Terrasse,
date unknown.
"Son theatre est, helas, tres souvent represente
d'une maniere figee. La premiere chose qu'il nous ait dite, c'est
qu'il ne fallait pas obstinement respecter les pauses, les temps..."
Christine Boisson to Pierre Notte, L'Evenement
de jeudi, 19-25 March 1998.
"[Harold Pinter] a choisi la haute tradition
britannique d'un jeu purement psychologique, pour une piece qui
ne l'est rien. Son theatre de chambre produit une musique grave
et poignante, qui place la morale et la politique en son coeur."
Jean-Louis Perrier, Le Monde, 1 April 1998.
"Il y a du Virginia Woolf [...] par la violence
qui sourd dans les echanges. [...] Il y a aussi du Marguerite
Duras dans cette façon de decaler les repliques [...] Seulement
Pinter, en une heure de répresentation, est loin de donner tous
les indices pour qu'on le suive avec enthousiasme. Il reussit
pourtant a creer un reel climat de tension, de malaise que Christine
Boisson, en 'femme gauchere', amplifie avec justesse."
Jean-Pierre Bourcier, La Tribune, 27 March
1998.
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